Déontologie

Macaron représentant des personnages pratiquant le Shaitsu

Comment travaille le praticien ?

Le praticien a vu sa formation et ses connaissances contrôlées et sanctionnées par plusieurs épreuves d’examen.

  • Un certificat de Praticien en Shiatsu lui a été délivré par son ecole de formation.
  • Il doit posséder un casier judiciaire vierge.
  • Il s’engage à respecter le code de déontologie du praticien.

Le praticien adhère à un code de bonne conduite et s’engage sur l’honneur : 

  • à exercer son art dans le respect total de l’intégrité physique et morale de la personne qu’il prend en charge,
  • à observer scrupuleusement le secret médical,
  • à diriger sans délai vers un médecin toute personne présentant des symptômes anormaux.

Code de déontologie du Syndicat Professionnel de Shiatsu :

SPS-code de déontologie


Code de déontologie de la Fédération Française de Shiatsu Traditionnel :

FFST Code de déontologie


Compte tenu de la législation française, il est soumis également aux obligations suivantes : 

  • ne pas établir de diagnostic médical,
  • ne pas faire interrompre un traitement médical,
  • ne pas prescrire ou conseiller des médicaments,

En conséquence, le récipiendaire s’engage sur l’honneur : à exercer son art dans le respect total de l’intégrité physique et morale de la personne traitée, à respecter une stricte confidentialité, à fixer des honoraires en accord avec l’équité en les proportionnant aux prestations fournies, tout en restant libre d’offrir des traitements gratuits, si nécessaire, ou dans le cadre d’un bénévolat (activité non rémunérée), à toujours garantir une prestation optimum, notamment en maintenant ses compétences au plus haut niveau à l’aide de cours, stages et formations complémentaires, à mener ses activités de Shiatsu en excluant toute forme de prosélytisme religieux, politique ou sectaire , à être détenteur du PSC1.

Dans la mesure du possible, le praticien s’engage à réactualiser tous les 3 ans cette formation.

Par ailleurs, le récipiendaire doit garder à l’esprit que le Shiatsu n’est pas une pratique médicale au sens occidental du terme.

Par conséquent il doit : s’abstenir d’établir un quelconque diagnostic médical , ne pas interrompre ou modifier un traitement médical, ne pas prescrire ou conseiller des médicaments , diriger sans délai vers un médecin toute personne se plaignant ou présentant des symptômes anormaux, avoir une conception pluridisciplinaire de sa pratique, ouverte vers les disciplines médicales et paramédicales complémentaires du Shiatsu.